Le consortium

Pour remplir ses objectifs, le projet Sixp s’appuie sur un consortium avec des compétences en écologie végétale, en biogéochimie des métaux, en acquisition de données aéroportées, en intelligence artificielle, en géostatistique et en gestion des sites après mines.

Les principaux rôles et responsabilités des différents partenaires du consortium sont présentés ici. Les zones colorées représentent un site avec une présence de métaux dans les sols très forte (violet) à faible (vert)

Plus précisément :

Le laboratoire GE est un laboratoire multidisciplinaire en science de l’environnement (géologie, hydrologie, écologie). Le coordonateur du projet, Florian Delerue est membre de GE. Il est écologue, et étudie l’écologie des communautés et les interactions entre plantes dans les milieux stressés.  D’autres chercheur des GE participant aussi au projet : Olivier Atteia (gestion des sites pollués, géostatistiques) et Samia Boukir (Machine learning)

Au sein du laboratoire d’écologie EPOC, la principale personne impliquées est Richard Michalet, qui étudie les interactions entre plantes depuis plus de 20 ans dans des environnements variés, dont les zones de montagnes.

Au laboratoire ISPA de biogéochimie, les principaux chercheurs impliqués sont Valérie Sappin-Didier et Christophe Nguyen. Leur domaine d’étude est le transfert sol-plante des contaminants métalliques/métalloïdes.

Le BRGM est l’office géologique national français. Les principales personnes impliquées sont Gaël Bellenfant et Thomas Dewez, grâce à leur expertise sur la gestion des sites après mines et l’interprétation des données géomorphologiques.

Au laboratoire d’informatique IRISA, l’équipe OBELIX, s’intéressant au traitement d’images complexes à des fins environnementales participe au projet.  Deux chercheurs sont particulièrement impliqués : Sébastien Lefèvre, expert en apprentissage par réseaux de neurones profonds appliqués à la télédétection ; et Thomas Corpetti, avec une expertise complémentaire en estimation de variables biophysiques via la télédétection.

L’Avion Jaune (AJ) est une entreprise de télédétection avec une expérience importante dans les projets de recherche pour l’environnement et la géomorphologie. Michel Assenbaum, un des fondateurs de l’entreprise, coordonne l’équipe de géomaticiens et de pilotes qui réalise les mesures aéroportées par lidar et par imagerie multispectrale.

L’équipe est aussi riche de plusieurs doctorants et post-doctorants couvrant les différentes thématiques du projet, et est aidée par plusieurs technicien.ne.s appartenant aux différentes structures.

Le mise en place du projet sur place est aussi permise grâce à l’aide de l’agence locale de l’ONF (les sites étudiés sont dans des espaces gérés par l’ONF), la mairie de Sentein (apportant un appui logistique) et différents acteurs locaux (L’auberge Relais montagnard, éleveurs et bergers).

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